PARDONNONS-NOUS LES UNS LES AUTRES
Un jour, il y a quelque temps, un homme, qui était très triste, marchait dans les bois.
Comme il réfléchissait à sa vie passée, ce jour-là, il savait qu'il avait fait beaucoup de choses qui n'étaient pas juste. Il réfléchissait à ceux qui lui avaient menti quand il travaillait.
Ses pensées se tournèrent vers ceux qui avaient volé ses objets et avaient triché avec lui. Il se rappelait les membres de sa famille qui sont maintenant décédés.
Il réfléchit à sa maladie que personne ne pouvait guérir. Son âme se remplit de colère, de ressentiment et de frustration. Debout, ce jour-là, à la recherche de réponses qu'il ne trouvait pas, sachant qu'il ne pouvait compter sur personne, il se mit à genoux au pied d'un vieux chêne pour chercher Celui qu'il a connu et Qui sera toujours là.
Et, les larmes aux yeux, il pria :
«Seigneur, dans cette vie, vous avez fait des choses merveilleuses pour moi. Vous m'avez dit de faire beaucoup de choses pour vous, et j'ai heureusement obéi.
Aujourd'hui, vous m'avez dit de pardonner. Je suis triste, Seigneur, parce que je ne peux pas et que je ne sais pas comment.
Ce n'est pas juste Seigneur. Je n'ai pas mérité ces malheurs que je subis et je ne devrais pas devoir pardonner.
Aussi parfaite que soit votre façon d'agir, Seigneur, c'est une chose que je ne peux pas faire, parce que je ne sais pas comment pardonner.
Ma colère est si profonde, je crains que je ne puisse pas vous comprendre, mais je prie pour que vous m'enseigniez à faire cette chose que je ne peux pas faire : m'enseigner à pardonner ».
Comme il s'agenouillait là, dans l'ombre tranquille de ce vieux chêne, il sentit quelque chose tomber sur son épaule. Il ouvrit les yeux.
Du coin de l’œil, il vit quelque chose de rouge sur sa chemise. Il ne pouvait pas se retourner pour voir ce que c’était, car là où était le chêne se trouvait maintenant, au sol, un gros morceau de bois carré. Il leva la tête et vit deux pieds retenus sur le bois par un gros clou.
Il souleva la tête davantage, et les larmes vinrent à ses yeux lorsqu'il vit Jésus accroché sur une croix.
Il vit des clous dans ses mains, une entaille à son côté, un corps déchiré et battu, des épines profondes enfoncées dans sa tête.
Enfin il vit la souffrance et la douleur sur son précieux visage. Pendant que leurs regards se rencontraient, l'homme se mit à sangloter et Jésus commença à parler.
«As-tu déjà dit un mensonge», demanda-t-il ?
L'homme répondit : « Oui, Seigneur ».
« As-tu déjà reçu trop de monnaie et l'as-tu gardée ?».
L'homme répondit :
« Oui, Seigneur ». Et l'homme sanglota de plus en plus.
« As-tu déjà pris quelque chose à ton travail qui n'était pas à toi ? », lui demanda Jésus.
Et l'homme lui répondit: «Oui, Seigneur ».
« As-tu déjà sacré, utilisant en vain le nom de mon Père ? ».
L'homme, en pleurant, répondit:
« Oui, Seigneur ».
Comme Jésus demanda plusieurs fois «As-tu déjà ? ».
Il ne contrôlait ses larmes que pour répondre :
«Oui, Seigneur ».
Alors Jésus tourna sa tête d'un côté et de l'autre, et l'homme sentit quelque chose tomber sur son autre épaule. Il regarda alors et vit que c'était le sang de Jésus.
Quand il regarda de nouveau vers le haut, son regard rencontra celui de Jésus, et il y avait un regard d'Amour que l'homme n'avait jamais vu ou connu auparavant.
Jésus dit :
« Moi non plus, je n'ai pas mérité ceci, mais je te pardonne ».
Il peut être difficile de voir comment tu vas passer à travers quelque chose, mais quand tu réfléchis à ta vie passée, tu te rends compte comme ce fait est vrai.
Lis lentement la première ligne ci-dessous et laisse cette phrase pénétrer en toi.
Si tu es l'un des 7% qui croit en lui, expédie ceci avec le titre le pardon.
93% des gens ne feront pas suivre ceci.
N'aies pas honte. Passe ce message, seulement, si tu crois librement !
C'est le plus simple test. Si tu aimes Dieu, et que tu n'as pas honte de toutes les merveilles qu'Il a accompli envers toi, envoies ce message à 10 personnes, y compris celle qui te l'a envoyé.
Voyons si c'est vrai.
Les anges existent mais des fois, ils n'ont pas d'ailes. Nous les appelons alors amis. Envoies ce message à tes amis et quelque chose de bien t'arrivera ce soir avant 11:11. Quelque chose que tu voulais entendre. Ce n’est pas une blague.
Quelqu’un va t’appeler au téléphone pour te parler au sujet de cette chose que tu attends ou bien un ange te donnera un message ce soir en rêve.
GLOIRE A TOI SEIGNEUR
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HOMMAGE A PASCAL ET A NONOT
En parlant de passé, deux amis viennent de nous quitter, en l’espace de quelques jours. D’abord Pascal. Il fut un temps où il était rédacteur à Madagascar Tribune dont le siège se trouvait alors à Ankorondrano. C’était un homme au tempérament calme mais jovial. Sa réponse à toutes mes bêtises de l’époque : « Ialahy ity leitsy ry Jeannot â ! ». Puis on s’est un peu perdu de vue. Mais je garderai toujours en mémoire son visage toujours souriant.
Ensuite Nonot. Lui, il avait une façon bizarre de trainer les pieds lorsqu’il marchait et une manière de finir ses phrases en crescendo. Toujours calme, Nonot avait un grand sens de la logique : « Tsy izany ileity fa izao â ! ». Moi, à l’époque, on peut dire que j’étais fou. Un tempérament que j’ai communiqué à plus d’un. Mais plus on est de fous, plus on rit, n’est-ce pas ? Eh bien avec la disparition de Pascal (Pasy) et Nonot, c’est un pan de mon propre passé qui s’effiloche. De l’Au-delà où nous irons tous, sans espoir de retour, ils doivent bien se marrer en pensant à moi. En tout cas, je suis heureux de les avoir connus et d’avoir passé des moments avec eux. Qu’ils reposent en paix, bien que Nonot ne sera enterré que ce vendredi 27 avril 2012
Jeannot Ramambazafy - 26 avril 2012