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Il est des créatures, comme çà , qui sans rien connaître de l’histoire de Madagascar en général, celle du journalisme malgache en particulier, se permettent de se prendre pour ce qu’ils ne seront jamais : c'est-à -dire des hommes authentiques et honnêtes intellectuellement parlant. Cas de qui a le privilège d’écrire sur madagascar-tribune.com dont il ignore tout.
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La gueule du pittbull. Que tous sachent, désormais, que l'on attaque pas impunément les journalistes qui entendent lutter contre toutes les formes d'injustice. Qu'est-ce que ce Monsieur, ci-dessus, doit donc apprendre dans son école dénommée Afcepf en région parisienne ? ll doit être de ma génération. Tant pis pour lui. il faut répondre de ses actes. De tous ses actes, cher Lalatiana Pitchboule qui, ici, a un faciès de Méphistophélès. Non ?
D’abord qu’il sache que moi, le « pseudo journaliste » qui écrit sous mon vrai nom, pas comme lui, journaliste « hors pair » mais illustre inconnu qui signe par un pseudonyme, a travaillé pendant plus de dix ans à Madagacar Tribune où je suis entré en 1988. (Dernière heure : Lalatiana Pitchboule se nomme Patrick RAKOTOMALALA. Voir en fin d'article).
Ce « Lalatiana Pitchboule « va-t-il oser affirmer que la photo ci-dessus est un photo-montage ? Qu’il s’adresse au propriétaire de madagascar-tribune.com, à côté de moi pour plus s'enfoncer
Avant d’insulter les gens que l’on prétend connaître, on s’informe d’abord. Je ne sais pas dire mon ancien patron, Rahaga Ramaholimihaso, mais ce n’est pas avec cette inconnue Lalatiana Pitbull que son journal en ligne va gagner en crédibilité. Que ce (ou cette) journaliste exceptionnel(le) dans l’art de faire du remplissage aille lire les archives de Madagascar Tribune de 1988 à 2005 et on verra. Et je me demande pourquoi elle ne met pas dans le tas le « Courrier International » qui a repris, maintes fois, mais articles et dossiers ? Il y a bien une raison à cela : si News press relaie mes articles, cela rend jaloux et comme dit cet inconnu (homme ou femme, on ne sait même plus) : « C’est simplement insupportable ». C’est écrit dans son « article » qui n’est qu’une attaque en règle sur des personnes. Comme on dit en malgache : « tsy mahay miady hevitra , fa miady sy mialona olona ». Aucun débat d’idées mais attaquent pour des raisons strictement personnelles. C’est aussi visible que le nez au milieu de la figure.
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Polémiquer n’est pas mon fort, moi le « journaleux » mais, il faut bien, à un moment donné mettre les sots à leur place. Je n’ai jamais été en mauvais termes avec Rahaga Ramaholimihaso qui, d’ailleurs, est très ouvert concernant la liberté des journalistes qui sont passés à feu Madagascar tribune version papier. Pour ce pitbull, je prédis déjà un avenir sombre : tôt ou tard, à force de croire qu’il est le maître du « scoop », il va s’attaquer à des gens dont il ignore tout. S’il croit que j’irai me plaindre à Ramaholimihaso -qui ne connaît très bien dans ma façon d’écrire et qui me respecte-, il se fourre le doigt dans l’œil jusqu’à l’os. A 55 ans, on ne va pas pleurer dans les jupes de sa mère (morte déjà qui plus est.
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Mais ce Lalatiana (c’est un prénom féminin aussi) à la rage au cœur. Sinon pourquoi prendre un tel pseudonyme ? Lorsqu’il aura écrit des articles depuis plus de 20 ans, qu’il aura écrit des livres, effectuer des expositions photographiques, réaliser des films, fait des conférences…. alors là , il aura le droit d’insulter aussi ma descendance qui m’a a informé de son « exploit ». Pour le reste, étant journaliste d’investigations, n’en déplaise à ce professionnel dont l’amateurisme transparaît à travers ses écrits de bouledogue, j’aurai vite fait de savoir qui c’est. Car, il a oublié une chose : en s’attaquant à moi, il s’est attaqué à des Ramambazafy sur quatre générations. Je ne veux aucune excuse de sa part car il a enclenché un processus dont il ignore le 10ème des impacts. Mes enfants et mes petits-enfants (en a-t-il ?) ne sont pas n’importe qui. Il faut qu’il apprenne à vivre. Comme m’a dit ma petite-fille de 10 ans : « Olona tsy mahay miaina io Papabe Jeannot ka ataovy mahalala ny anaran-tsika ». En bon français : C’est quelqu’un qui est mal dans sa peau, Papabe Jeannot, il ne faut pas se laisser faire. Voilà le résultat des conneries de Lalatiana Pitchboule : apporter la rancœur à une fille de 10 ans. Et j’ai encore sept autres petits-enfants. Il n’est pas sorti de l’auberge de ses propres imbécilités. Moi, on me connaît, on sait où j’habite, on a mon numéro de téléphone. Les menaces, j’en ai reçu depuis 20 ans et çà continue. Pour faire l’équilibre, il est donc impératif, pour mes petits-enfants de connaître qui se terre sous ce pseudonyme canin. Ce n’est pas en étant d’une lâcheté aussi flagrante qu’on gagne en crédibilité. En journalisme, on se fait un nom et on le garde.
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Extraits de son « scoop » en date du 13 juillet 2009 : (…) Alors je suppute, je suppute … serait-il possible que le sieur en question, qui assure un certain ton et une certaine orientation de l’information sur les évènements de Madagascar, ait été imposé aux rédactions ? … Serait-il possible que ces rédactions ne soient pas dupes mais que, contraintes et forcées, elles laissent hypocritement passer ces écrits en espérant que le ridicule poussé à l’extrême de ce journaleux finisse par faire réagir le prescripteur initial ? Ce serait bien irresponsable … A moins que les soutiens de Rajoelina et de son coup d’Etat relèvent effectivement d’instances que je n’ose plus nommer ici (mais suivez mon regard) qui s’avéreraient suffisamment puissantes pour juger négligeable le ridicule de la situation…(…). Je suis gentil, je lui fait de la pub : l’article en entier sur :
http://www.madagascar-tribune.com/Madagate-NewsPress-TV5,12289.html
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Où étaient ces forts en gueule actuels du Tim, du Gtt et autres Lalatiana Pitchboule le 13 mai 1972 ? Moi, j'y étais face à des Forces Républicaines de Sécurité (FRS) armés jusqu'aux dents. Je suis un survivant qui a décidé de dénoncer toutes les injustices pratiquées par les dirigeants passés, présents et à venir. D'où mon choix d'être "journaleux"
Où était ce connard lorsque les Frs ont tiré sur nous, étudiants, en 1972 ? Où était cet illustre inconnu lorsque j’ai été pris en otage par les sbires du capitaine Coutiti à Diego Suarez ? Où était-il encore lorsqu’on a défendu Ravalomanana sur les collines de Faravohitra, dès la nuit du 29 mars 2009, après le dynamitage du premier pont ? Où était-il encore, lorsque je me suis cassé la figure, avec ma caméra, devant le Palais d’Ambohitsorohitra, le 7 février 2009 ? Qu’il soit content ou non, je fais partie de l’Histoire de Madagascar. Et dans son « article » qui déshonore, non seulement le métier mais surtout Rahaga Ramaholimihaso lui-même, il prétend le contraire. C’est fou ce que certaines créatures s’obstinent à croire que les autres font ce qu’ils font eux-mêmes. Désormais, non seulement il s’est mis à dos des enfants qu’il ne connaît même pas mais qu’il insulte, à travers le grand-père, mais il va avoir fort à faire avec sa conscience. Insulte, divague, invente, il en restera toujours quelque chose. Avec moi, il pourrait y avoir une « réconciliation ». Mais avec ma descendance, je ne sais pas car Lalatiana Pitchboule est allé trop loin. C’est l’avis de huit enfants dont l’aïeul -encore vivant, mais qui ne mourra pas, ici-bas ?- se nomme Jeannot Ramambazafy. Nos parents nous ont donné un nom qu’on doit faire respecter. Lalatiana Pitchboule n’a donc aucune racine (« olona tsy misy fotony » comme le dit toujours le guitariste D’gary. C’est grave pour un Malgache. A moins que le pittbull ne le soit pas. Qui est ridicule déjà  ? « Izay mitady dia mahita, Tompoko ô !». Et qu’il ne croit pas me faire peur avec des menaces. Quand le moment viendra, je mourrais. Pas avant. En attendant, qu’il lise attentivement le dernier paragraphe de mon article sur les extraits du discours de l’ambassadeur Jean Marc Chataigner.
Enfin, un seul exemple de mes "pseudos" articles, pour remettre les idées en place, dans la tête de Pittbull de ce Lalatiana :
http://74.125.95.132/search?q=cache:kKspJumjQn0J:www.madatsara.com/information-actualites-madagascar-articles-madagascar-malgache-vaovao-gasy/detail,553/satanisme-demystification.html+jeannot+ramambazafy+madagascar+tribune&cd=16&hl=fr&ct=clnk&gl=fr
 Le Pasteur Richard Andriamanjato ne m'en a jamais tenu rigueur car tous les Malgaches, à l'époque, ont été mystifiés par Marc Ravalomanana que j'ai élu par deux fois. A bientôt donc "Lalatiana Pitchboule", grand vétéran des journalistes à Madagascar. Caron va encore parler de toi, sois en assuré.
Jeannot RAMAMBAZAFY - Journaliste
Aux dernières nouvelles, l'article de ce pitbull a été "enlevé" (censuré c'est du pareil au même) par la rédaction de madagascar-tribune.com). C'est trop tard pour Lalatiana Pitchboule dont nous saurons l'identité. Tôt ou tard. car il risque de mordre... Il faut assumer la responsabilité de ses actes. Bons ou mauvais.
Der des der : C'est fait, Lalatiana Pitchboule s'appelle PATRICK RAKOTOMALALA. Qui est-il ? Il est le directeur d'une école spécialisé dans la formation continue en banlieue parisienne, l'AFCEPF. Il est douteux donc qu'il vient souvent à Madagascar. il est l'auteur du site madagoravox, spécialisé en intox, désinformations et diffamations. Comme je le dis toujours : "Iray ny fahavakolo, iray ny namako" ou : si j'ai un ennemi (dans le monde entier), j'ai un ami aussi en mêmes lieux. A suivre...