Madame Victoire Brigitte Razaka, la plaignante, au micro
Point de presse du 26/03/2023 sur la plainte contre M. Lola Rasoamaharo
Les faits s’articulent autour d’une tentative d’extorsion de fonds, menaces, diffamations, injures et complicité.
Sur la base d’un contrat clair et explicite établi en 2019 qui, à ce jour, laisse la plaignante créditrice, M. Lola Rasoamaharo veut contraindre celle-ci à lui payer la somme de 885.000.000. Ariary. Montant arbitraire à propos duquel M. Lola Rasoamaharo n’a avancé aucun justificatif ; malgré les demandes répétées formulées par la plaignante.
Les seules réponses de M. Lola Rasoamaharo consistaient en des menaces et des promesses de détruire la plaignante, sa réputation et sa famille sur la place publique.
Sa responsabilité et ses façons de faire n’étant plus un mystère pour personne, la liste de ses victimes est longue, M. Lola Rasoamaharo a exécuté ses menaces à partir de la semaine du 05 février 2023 : des insinuations de dénigrement sur Facebook, des graffitis dénigrants et dégradants sur les murs d’Antananarivo, des pressions morales véhiculées par personne tierce, des harcèlements moraux continus verbaux et écrits…
Me Andriamparanirina Fanja, avocat de la famille, au micro
La plaignante a couvert les 40 graffitis avec de la peinture noire. Peine perdue, M. Lola Rasoamaharo a rédigé 50 nouvelles inscriptions, le 22 mars 2023, en blanc par-dessus. Le tout, toujours dans le dessein de se faire payer les 885.000.000 Ariary injustifiés qu’il réclame.
La plaignante n’avait plus d’autre choix que de porter plainte pour sa sécurité et celle de sa famille.
La justice a été saisie de l’affaire qui, rappelons-le, n’engage que deux personnes dans un cadre privé, afin d’éviter toute tentative de désinformation et de détournement des faits./.
Recueillis et retranscrits par Jeannot Ramambazafy
Photos : Harilala Randrianarison et Andry Rakotonirainy