Nous avons le profond regret de vous annoncer le départ précipité de notre très chère Liberté de la presse survenu jeudi très tard à l'assemblée nationale de Tsimbazaza. Les circonstances du décès sont claires : elle a été bâillonnée, attachée, manipulée puis violée des jours par une centaines de personnes en même temps (viol collectif) avant de recevoir le coût de couteau fatal. D'après les sources informées, elle a essayé de se débattre mais en vain. Sa seule force ne faisait pas le poids contre des gros bras récidivistes et déjà poursuivis pour vol et viol collectif. Ils ont déjà leur méthode que la pauvre petite liberté espérait pouvoir déjouer : pendant que les uns surveille les alentours et endorment les personnes susceptibles d'intervenir à coup de blabla anesthésiant à base de chloroforme verbale, les autres l'assènent de coups frontaux sur les points vitaux.
Pour rappel, Liberté a été enlevée lorsqu'elle allait être soumise a l’examen des parlementaires. Le rapt a eu lieu pendant que ses proches (système des nations unies, journalistes et sociétés civiles) avaient à peine le dos tourné car d'autres bandits ont tué des innocents dans le sud, ont fait explosé un stade plein comme un œuf et pendant qu'une jolie dame se pavanait dans un pays où les enfants meurent de faim dans sa jolie robe d'été aux ananas. Des tentatives de libération ont été conduites à plusieurs reprises, mais elles ont toujours échoué. Vous serez informés des détails de son enterrement qui aura lieu à la stèle de la liberté de la presse. Puisse-t-elle reposer en paix pour ne pas hanter la conscience de ses assassins qui espèrent s'enrichir et continuer à piller en toute impunité.
Ses enfants, seuls abandonnés et démunis