C'est en langue malagasy que cet énergumène qui réside en région toulousaine, en France, démontre son art d'insulter qui il veut, sûr de son impunité. Malheureusement pour lui, sans rime ni aucune raison, sinon pour défendre un escroc -qui aura des comptes à rendre à la justice d'ici ou d'ailleurs, tôt ou tard-, il m'a inscrit dans son palmarès avec une gravissime insulte pour un Malagasy: s'en prendre à ma mère, pourtant décédée en 1977. Je ne reproduirai pas cette insulte ici, ce ne serai ni intelligent ni correct. Mais j'ai une capture d'écran, pour le prouver. Lui -que, jusqu'ici, je ne connaissais ni d'Adam ni d'Eve-, il est sûrement venu sur la planète Terre, tout seul?
Non, il a des parents. Mais faut-il les plaindre d'avoir engendré un authentique monstre frustré d'on-ne-sait-quoi qui prendre les Malagasy pour de la merde? Tout simplement au nom de la "liberté d'expression". Cela est dit en français: malgaches de merde! Pourquoi j'ai rédigé ce texte en français, alors que lui, il parlotte tout le temps en malagasy, à travers des vidéos qui ont toutes été enregistrées? C'est pour prévenir les gouvernements français et américains. Car mieux vaut prévenir que guérir.
Avec un type ayant des comportements de terroriste, il faut s'attendre à tout. Surtout qu'il travaille dans un aéroport... Qu'adviendra-t-il s'il pète les plombs en plein boulot? Car, trop souvent en plein paradis artificiel, il ne sait même pas lui-même jusqu'où il pourrait aller dans sa folie. Dans un post en malagasy il le dit lui-même, d'ailleurs: "Anao koa adala. Zaho Luc Hervé adala mandilatra anao". Ce qui signifie, en bon français: si tu es fou, moi Luc Hervé, je le suis encore plus que toi. Imaginez alors ce qui risque de vous arriver si vous le rencontrez et que vous le regardez de travers. Avec ce Luc Hervé tout est possible et surtout toujours le pire.
Quelle est sa raison de vivre? Pourquoi s'en prend-il à ses compatriotes de Madagascar, lui résidant à 10.000 kilomètres? Assurance de l'impunité totale au nom sa fameuse "liberté d'expression" ou summum de la lâcheté d'un fanfaron mal éduqué? Quoi qu'il en soit, une chose est certaine: aussi loin que l'on aille, on ne peut jamais échapper à ce que l'on fait. Originaire de Mahajanga, il y a sûrement quelqu'un, ici sur Facebook, qui doit le connaître réellement: son enfance (dure? Mais ce n'est pas une raison pour insulter tout le monde); son parcours (de combattant? D'où son habitude à se vêtir en terroriste?), sa façon d'avoir pu s'établir en France (sujet de routine très intéressant, messieurs des RG...).
Certes, il a du trimer dur pour arriver à avoir un semblant de vie dans le sud français. Mais pourquoi a-t-il gâcher sa chance en se mettant en lumière comme le dernier des terroristes coupeurs de tête? Voyez ces photos en tenue de combat et même cagoulé, avec une arme. Factice ou non. Ces images ne doivent pas du tout être appréciées par le gouvernement américain. Ni même l’État français dont il bénéficie d'avantages sociaux certains.
Il n'y a pas à lui faire entendre raison, c'est peine perdue. Il importe plutôt de garder un œil vigilant. Car au stade où il en est, dans ce monde de bruits et de fureur, les regrets ne viennent jamais qu'après. Quant à ses complices supporteurs, aussi lâches et anonymes qu'ils soient, les voilà aussi prévenus. Les inventeurs de Facebook ne sont pas des Luc Hervé et une adresse IP est indélébile, où que vous soyez. Aussi, profitez bien de votre... liberté. Personnellement, ce gars-là me fait pitié.
Mais j'ai l'honneur de ceux qui m'ont donné le jour à défendre. Vous tous, je ne sais pas, mais les parents c'est sacré. Aussi, rira bien qui rira le dernier. Il joue à un jeu infantile, voire puéril, certes, mais extrêmement dangereux pour son âge. En est-il conscient ? Certainement pas. Enfin, s'il voulait être célèbre, c'est réussi, c'est fait, mais il ne s'en sortira jamais indemne. Pourquoi porter plainte contre lui ? D'autres s'en chargeront tôt ou tard. Il ne s'agit pas, ici, de lui donner une quelconque importance, mais de le faire connaître, tel qu'il a été, tel qu'il est devenu et pourquoi il finira forcément mal par sa propre faute d'avoir renier l'éducation reçu de ses parents.
Jeannot Ramambazafy