
Face au pillage survenu le 26 janvier dernier, organisé par des « éléments perturbateurs » du parti présidentiel dans le but de salir et de dénigrer le mouvement populaire et pacifique mené par le Maire d’Antananarivo, Andry Rajoelina, Marc Ravalomanana avoue, sans rire qu’il « avait donné l’ordre aux forces de sécurité de ne pas intervenir ». Autrement dit, laisser les pillards accomplir librement leurs méfaits. Il a fallu le sens de responsabilité des leaders politiques de l’opposition, notamment celui d’Andry Rajoelina en personne pour que le calme revienne ; pour qu’un « couvre feu » soit décrété ; et pour que des mesures sécuritaires adéquates soient prises pour rétablir l’ordre.
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