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Ô interprètes et analystes « chevronnés » de tous bords : voici le fac-similé de la lettre du Secrétaire Général des Nations Unies adressée au Président de la Haute Autorité de la Transition, en date du 8 mai 2009. Dès lors, qui a semé la zizanie et qui continue ? Depuis le temps que je vous répète que l’ennemi du Malgache c’est un Malgache comme lui. En tout cas, cette lettre va faire sauter au plafond quelques-uns et faire encore fantasmer les blogueurs patentés qui, montant  brusquement au créneau pour des raisons matérielles flagrantes, vont passer toute leur vie à se priver de… vie pour défendre, non plus un changement de système, mais le retour d’un dictateur avéré. Bof, on aura toujours le temps de mourir, n’est-ce pas ? Mais où étaient donc ces farouches défenseurs -qui envahissent actuellement l'Internet-, en 1972, 1991 et 2002 ? Je prends pour exemple, mon "confrère" Sammy Rasolo, ancien collègue de Madagascar tribune, qui s'est exilé volontairement en France, qui a la nationalité française et qui fait, actuellement, les beaux jours de Topmada. Moi, je connais sa personnalité et ses "analyses" ne cadrent pas du tout avec ce brillant rédacteur plutôt réservé. Et lui aussi, il me connaît dans mes démarches de lutter contre toutes les injustices. Il sait que je suis le dernier survivant de la race des incorruptibles. Y trouvera-t-il son compte, à la fin, lui qui a choisi délibérément de quitter son pays d'origine ? Que sait-il, à présent, des réalités sur terrain ? Et que dire de ce Ndimby A., bombardé subitement "éditorialiste" de Madagascar Tribune en ligne. Ce titre d'où émane la majorité des journalistes de la Gazette de la Grande île et de La Vérité, perd de plus en plus de sa crédibilité originelle. sur papier. D'ailleurs, la version papier du prestigieux Madagascar tribune d'antan (1988-2009) n'existe plus. Pourquoi ? Lorsque le facteur matérialiste est en jeu, le plus brillant des rédacteurs devient le dernier des imbéciles. Quant à Eugène Rajaofera, ancien de Madagascar Tribune aussi, il est devenu la main armée de Mamy Rakotoarivelo, le dernier Tim des Tim, plus gros actionnaire  de Midi Madagasikara. fondé par ses beaux-parents.  Des personnalités plus versées dans le volet "économie" des choses que l'aspect politique d'un moment douloureux, mais passager, de l'histoire de Madagascar. Eugène aussi connaît mon incorruptibilité. Tant pis pour ceux qui n'y croient pas. Rajaofera y trouvera-t-il son compte, lui aussi, en persistant à jouer l'avocat du diable ? J'en doute. A 55 ans, je n'ai plus le temps de mettre des gants pour cracher des vérités qui font mal mais "ny hava-tiana ihany no anarina". Attaquez-moi si çà vous chante mais cessez de tromper l'opinion publique. Montrez plutôt des preuves irréfutables que des vues téléguidées de vos propres convictions. Vous devez tous connaître le cas de clause de conscience en journalisme. Non ?

La clause de conscience

En gros, il s’agit d’une disposition qui permet au journaliste de quitter de sa propre initiative une entreprise de presse, tout en bénéficiant des indemnités de licenciement.

Conditions d'application

Bien qu’il existe des jurisprudences contradictoires, tous les journalistes professionnels, collaborateurs d’un même journal, peuvent se prévaloir de la clause de conscience, y compris les pigistes.

En effet, en droit du travail, le pigiste n’a pas un statut spécifique ; il a tout simplement un mode de rémunération particulier, variable.

Nature et portée du changement intervenu

Le journaliste est tenu par un lien de subordination en tant que salarié, mais ce lien de subordination ne le contraint pas « à partager les variations de doctrine ou d’opinion du journal auquel il collabore ». La clause de conscience évite au journaliste d’avoir à résister « à une tendance du journal en désaccord avec sa ligne de pensée personnelle » et de renier sa propre pensée (J-L Durand). Elle consacre ainsi le principe du « respect de la personnalité du travailleur » (J-M Leloup).

Le journaliste pourra se prévaloir de la clause de conscience dans le cas d’un « changement notable dans le caractère ou l’orientation du journal ». Pour se prévaloir de la clause de conscience, il faut aussi que « la situation soit de nature à porter atteinte à l’honneur ou, d’une manière générale, aux intérêts moraux du journaliste. Mais il s’agit d’un critère subjectif très difficile à apprécier. Et, comme à Madagascar, même le code de la communication n’est toujours pas appliqué, on se demande qui est le dindon de la farce, en regard  de toutes ces « analyses » et autres « vérités » qui emmêlent l’esprit des lecteurs. Bon, revenons à nos documents réels qui ne sont pas des vues d'un esprit (borné).

 

 

 

Par ailleurs, ci-après quelques photos du vice-Premier ministre, chargé des Affaires étrangères, qui a devancé la délégation conduite par le Président Andry Rajoelina, avec un texte d’’ambiance. En attendant les photos du Président de la HAT et sa suite.

 

 

La première vague de la délégation malgache qui s’est rendue à New York, conduite par le vice-Premier Ministre, chargé des Affaires étrangères, Ny Hasina Andriamanjato, a assisté à la cérémonie d’ouverture de la soixante-quatrième session de l’Assemblée générale des Nations Unies, le 15 septembre 2009. Dressant le bilan de sa présidence, Miguel d’Escoto Brockmann, Président de la précédente session, a estimé que la session qu’il avait présidée était l’une des plus « turbulentes » de ces dernières années.  Il a notamment rappelé, entre autres, la survenance de la crise financière et économique qui a secoué le monde. M.  Brockmann a ensuite remis le maillet de la présidence à son successeur, de la Jamahiriya arabe libyenne,  Dr Ali Abdussalam Treki. Toujours concernant la crise économique et financière et son impact sur le développement, le vice-Premier Ministre malgache Ny Hasina Andriamanjato a débattu de l’importance du partenariat lors d’une séance de travail organisée par le Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération du Portugal, Joao Gomes Cravinho.

 

 

 Ny Hasina Andriamanjato et le Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération du Portugal, Joao Gomes Cravinho

Au coté des représentants du Suède, de l’Egypte (Président du Mouvement des Pays Non Alignés NAM), du Luxembourg (Président du Conseil Economique et Social ECOSOC de l’ONU), du Botswana, de la Libye (Président du Groupe africain)entre autres, ainsi que du lauréat du Prix Nobel d'Economie, le Professeur Stiglitz, et de l’Administrateur du PNUD, Helen Clark, il s’est mis d’accord avec les participants sur la mobilisation de tous les efforts, mais de manière plus efficace, dans la réponse à la crise.

 

 

 

En marge d’autres réunions importantes à New York auxquelles il a assisté, le vice-Premier Ministre malgache et ses collègues ont été également invités par le " Christian Embassy " à participer au traditionnel déjeuner de prière « International Prayer Breakfast » et a assisté, au coté des autres délégations des pays membres des Nations Unies, à la cérémonie de dépôt de gerbe en commémoration du quarante-huitième anniversaire du décès de l'ancien Secrétaire général des Nations Unies, Dag Hammarskjöld. Au coté des autres membres de la Commission de l’Océan Indien (COI), Ny Hasina Andriamanjato a tenu à participer à la cérémonie de signature du mémorandum d’entente portant sur la coopération dans les domaines des vulnérabilités occasionnées par les changements climatiques, de l’évaluation des risques de l’adaptation et de la migration, entre la Grèce et la COI.

 

64^ème Assemblée Générale des Nations Unies

Siège de l’ONU, New York – Etats-Unis

Journée du 22 septembre 2009

 

Premier plan, de g. à dr.: le vice-Premier ministre  Ny Hasina Andriamanjato; le Président Andry Rajoelina; second plan, de g. à dr.: Zina Andrianarivelo-Razafy, Ambassadeur auprès de l'ONU, Zaza Ramandimbiarison, Directeur de Cabinet de la Présidence de la Transition

Matin : Conférence de haut niveau  les Changements climatiques

10 heures (Heures de New York, 17heures de Madagascar): Début de la Conférence de haut niveau sur les changements climatiques

Discours d’ouverture officielle par SEM Ban Ki Moon, Secrétaire Général des Nations Unies ;

Allocution de SEM Barack Obama, Président des Etats-Unis ;

Présence de SEM Andry Rajoelina, Président de la HAT à cette ouverture de la Conférence de haut niveau sur les changements climatiques ;

Déjeuner officiel offert par  SEM Ban Ki Moon,  Secrétaire Général des Nations Unies

 

Après Midi : Tables rondes sur les changements climatiques

Tables rondes sur les changements climatiques avec la participation de Madagascar dans un groupe de 25 pays entre autres les USA, la Belgique, l’Italie, l’Arabie Saoudite, le Sénégal, le Kenya, la Serbie,…

Participation de SEM Andry Rajoelina, Président de la Haute Autorité de la Transition aux tables rondes et intervention par message vidéo.

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Pour ce qui est des prochaines réunions, toujours au Siège des Nations Unies, la délégation malgache sera conduite par Andry Rajoelina, Président de la Haute Autorité de Transition. La réunion de haut niveau sur le changement climatique qui se tient le 22 septembre où, pour la première fois, au lieu de présenter de  vive voix leur discours en  séance  plénière, tous les  chefs d'Etat  et de Gouvernement  ont eu la possibilité de présenter leur déclaration en  message vidéo préenregistré. Les messages pourront être suivis  sur Internet, notamment sur le site web des Nations Unies et sur « You Tube ». De même, les enregistrements vidéo seront  diffusés  à partir du  premier  jour du  Sommet sur  plusieurs écrans  installés au Siège de l'Onu. Le débat général des Nations Unies, auquel participeront des hautes personnalités, comme les Présidents Barack Obama et Nicolas Sarkozy entre autres, commencera le mercredi 23 septembre 2009. Le Président Rajoelina prendra la parole à la Tribune le jeudi 24 septembre 2009 (voir liste ci-dessus avec deux astérisques), et son discours sera transmis en direct à Madagascar cette soirée même.

 

Enfin,  je vous donne la liste des membres de la délégation malgache à New York. On dit que l'on ne change pas une équipe qui gagne. Pour le moment, il n'y a rien à gagner sauf que cette liste restera pour que les générations malgaches futures sachent qui était à un endroit à un moment donné. Pour le moment, c'est de l'information pure. Et l'on ne dira pas aussi, pour cette fois, que les journalistes embarqués sont tous des "journalistes HAT".