Nouveau rôle pour Lalao Ravalomanana qui se prend pour Esther de la Bible à présent. « Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité ». Et elle a oublié que la Bible n’existait pas au temps de nos ancêtres les Vazimba. Et qu'Esther, la vraie, était Juive et non membre du FJKM (Eglise protestante réformée de Madagascar) complètement politisé par Marc Ravalomanana qui joue donc quel rôle à notre époque, lorsqu'on connaît la vraie histoire d'Esther (lire plus loin) ? Il ne peut être ni Mardochée ni Aman. Mais sait-on jamais en 2013?
Bon, c’est clair, net et sans bavure : il ne faut plus s’étonner de rien sur cette planète Terre qui ne sera jamais qu’un passage. Face à l’univers créé par Dieu, les hommes ne sont que des êtres insignifiants, tellement bourrés d’orgueil qu’ils oublient leur misérable condition. Tout est possible ici-bas. Sauf acheter la mort que beaucoup tentent de tromper vainement.
Au fait, qu'est donc devenue Bebe Razay (photo de droite), sa mère qui était à l'article de la mort et grâce à qui elle a pu rentrer à Madagascar en ayant, toutefois, signé un accord comme quoi elle ne ferait pas de politique mais s'occuperait de cette maman malade ? Voilà , ma foi, une Lalao Esther dans l'éther du grand mensonge devant l'Eternel, pour les beaux yeux de Marc l'inflexible. N'est-ce pas ? Et elle est candidate présidente à présent. Est-ce cela le "fahagagana" ou le "lainga mantsina" ?
Je vais en prendre mon parti. A partir de ce jour, je ne traiterai plus que d’informations pouvant mener au développement certain de Madagascar, ce pays où je suis né et où je mourrai un jour. Pour le moment, voici un dossier qu’aucun journaliste n’écrira jamais. Sauf moi, Jeannot Ramambazafy. Sans vanité mais pour bien faire comprendre que tout n’est que poursuite du vent. L’Ecclésiaste a eu raison et, plus de 2.000 ans après, ce qu’il a écrit est toujours d’actualité :
Paroles de l'Ecclésiaste (Qohélet), fils de David, roi de Jérusalem :
« Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité. Quel avantage revient-il à l'homme de toute la peine qu'il se donne sous le soleil ? Une génération s'en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours. Le soleil se lève, le soleil se couche ; il soupire après le lieu d'où il se lève de nouveau. Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord ; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits. Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est point remplie ; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent. Toutes choses sont en travail au delà de ce qu'on peut dire ; l'œil ne se rassasie pas de voir, et l'oreille ne se lasse pas d'entendre. Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. S'il est une chose dont on dise : Vois ceci, c'est nouveau ! Cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés ».
En ce mois de juin 2013 qui tire à sa fin, la Communauté internationale des intérêts sans sentiment veut recoloniser Madagascar et la France, ancienne puissance coloniale, brandit le refus de visa, comme si c’était le paradis là -bas. Rien de nouveau sous ce soleil des imbéciles.
Joachim Chissano, ancien président du Mozambique colonisé par le Portugal, et bombardé médiateur en chef du GIC-M, la voix "armée" de la nouvelle colonisation de Madagascar, pays colonisé par la France. Ce n'est déjà pas normal... En 2002, c'était le Sénégal, colonie française, d'Abdoulaye Wade, qui avait tenté de régler la crise. Mais Marc Ravalomanana a, par deux fois, renié les accords de Dakar (CLIQUEZ ICI)
Le GIC-M (Groupe International de Contact pour Madagascar) va se réunir le jour même du retour de l’Indépendance de Madagascar (26 juin) pour jouer aux tirailleurs sénégalais des puissances financières multinationales. Rien de nouveau sous le soleil.
Le 26 février 1885, à Berlin, les représentants de 14 pays européens se sont réunis. L'Allemagne, qui ne s'est pas engagée dans la politique de colonisation, a pourtant joué les médiateurs et a plaidé en faveur de la liberté du commerce et de la navigation, notamment dans le bassin du Congo et celui du Niger. Mais l’acte final a fixé les règles de la colonisation de l'Afrique et impose le principe de l'effectivité pour reconnaître une annexion. Ce que j’ai trouvé de très comique, c’est le début du préambule. Cela a commencé par : « Au nom de Dieu Tout-Puissant ». Vous ne me croyez pas ? Cliquez ici alors.
On connaît la suite pour Madagascar, à partir du 6 août 1896. 117 ans après donc, la colonisation revient, mais sous une forme encore plus subtile. En effet, ce sont, à présent, les représentants d’anciens pays colonisés africains qui sont en charge, de la mettre en pratique contre un autre pays colonisé par la France. En l’occurrence Madagascar.
Voilà comment les diplomates occidentaux ont décidé de l'avenir de l'Afrique, devenue un gâteau, fixant les règles de sa colonisation. Mais le 26 juin 2013, ce sont des Africains qui décideront du sort d’autres africains (dans le domaine politique, Madagascar est considéré comme faire partie de l’Afrique). Parce que les politiciens malgaches n'ont pas une once de patriotisme et ont l'intime conviction d'être immortels. Vanité des vanités doublée d'un orgueil sans limite. Certains sont en train de prier pour que la guerre à Madagascar ait vraiment lieu. Ce n'est pas nouveau et çà arrivera bien un jour. Mais après ? Plongés dans leurs faux calculs de vouloir tous être des messies sauveurs, ils ne l'ont même pas imaginé. Mais ils récolteront du vent et seront poursuivis par les remords jusqu'à leur mort. Je n'invente rien, c'est déjà écrit dans la Bible.
Très bon choix et très bon moment que ce 26 juin 2013 en tout cas -un choix on ne peut plus stratégique, n'est-ce pas ?-, car les politiciens malgaches, n’ayant pas lu l’Ecclésiaste, passent leur temps à palabrer, en débitant des théories fumeuses directement tirées de leurs intérêts propres, mais en usant, sinon en abusant, du prétexte fallacieux « au nom du peuple ». Et les médiaboliques jouent admirablement leurs porte-parole. La suite ?
L'Union africaine, ancienne Organisation de l'Unité africaine, vient de célébrer ses 50 ans d'existence. Rien n'a changé sous le soleil des guerres fratricides, avec l'accord (récemment au Mali), du Sg du Grand Machin, ci-dessus, seul étranger au milieu de ces Africains de la Désunion qui fait le bonheur des multinationales comme Areva... Les têtus -ceux qui veulent vraiment développer leur pays en utilisant leurs richesses pour l'intérêt réel de leur population respective- sont absents car "suspendus". Avant, ils étaient assassinés ou "accidentés"... Rien de nouveau sous le soleil du crime politique sur fond d'enjeu économique.
Ben, il y aura encore des morts, c’’est une maladie journalière courante, ne vous en faites pas, et puis le Grand Machin (l’ONU selon Charles de Gaulle) va faire semblant de condamner, mais cette fois-ci elle risque bien d’envoyer des casques bleus totalement inutiles comme au Congo d’avant. Tout dépend du degré de jusqu'au-boutisme des 20 traîtres à leur propre pays. Puis, tout le monde va se pardonner et les survivants reprendront tout à zéro jusqu’à la prochaine décade. Mot dans lequel il y a la consonance de décadence. Entre-temps, beaucoup d’entre nous serons morts, d’une manière ou d’une autre, mais le soleil se lèvera toujours à l’Est. Alors ? Pour le peu de temps qu’il reste, mieux voir le côté réel des choses de la vie. Car l’Ecclésiaste n’a pas omis de dire :
Moi, l'Ecclésiaste, j'ai été roi d'Israël à Jérusalem.
« J'ai appliqué mon cœur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux : c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme. J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent. Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté. J'ai dit en mon cœur : Voici, j'ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon cœur a vu beaucoup de sagesse et de science. J'ai appliqué mon cœur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie ; j'ai compris que cela aussi c'est la poursuite du vent. Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur ».
« Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux : un temps pour naître, et un temps pour mourir ; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté ; un temps pour tuer, et un temps pour guérir ; un temps pour abattre, et un temps pour bâtir ; un temps pour pleurer, et un temps pour rire ; un temps pour se lamenter, et un temps pour danser ; un temps pour lancer des pierres, et un temps pour ramasser des pierres ; un temps pour embrasser, et un temps pour s'éloigner des embrassements ; un temps pour chercher, et un temps pour perdre ; un temps pour garder, et un temps pour jeter ; un temps pour déchirer, et un temps pour coudre ; un temps pour se taire, et un temps pour parler ; un temps pour aimer, et un temps pour haïr ; un temps pour la guerre, et un temps pour la paix. Quel avantage celui qui travaille retire-t-il de sa peine ?
J'ai vu à quelle occupation Dieu soumet les fils de l'homme. Il fait toute chose bonne en son temps ; même il a mis dans leur cœur la pensée de l'éternité, bien que l'homme ne puisse pas saisir l'œuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'à la fin. J'ai reconnu qu'il n'y a de bonheur pour eux qu'à se réjouir et à se donner du bien-être pendant leur vie ; mais que, si un homme mange et boit et jouit du bien-être au milieu de tout son travail, c'est là un don de Dieu ».
Alors ? Cela ne veut pas dire pour autant qu’il faut croiser les bras en attendant sagement la mort, sinon, il n’y a plus qu’à vous suicider. Non, l’Ecclésiaste propose ce qui suit pour meubler votre temps terrestre :
« Prends garde à ton pied, lorsque tu entres dans la maison de Dieu ; approche-toi pour écouter, plutôt que pour offrir le sacrifice des insensés, car ils ne savent pas qu'ils font mal. Ne te presse pas d'ouvrir la bouche, et que ton cœur ne se hâte pas d'exprimer une parole devant Dieu ; car Dieu est au ciel, et toi sur la terre : que tes paroles soient donc peu nombreuses. Car, si les songes naissent de la multitude des occupations, la voix de l'insensé se fait entendre dans la multitude des paroles. Lorsque tu as fait un vœu à Dieu, ne tarde pas à l'accomplir, car il n'aime pas les insensés : accomplis le vœu que tu as fait. Mieux vaut pour toi ne point faire de vœu, que d'en faire un et de ne pas l'accomplir. Ne permets pas à ta bouche de faire pécher ta chair, et ne dis pas en présence de l'envoyé que c'est une inadvertance. Pourquoi Dieu s'irriterait-il de tes paroles, et détruirait-il l'ouvrage de tes mains ? Car, s'il y a des vanités dans la multitude des songes, il y en a aussi dans beaucoup de paroles ; c'est pourquoi, crains Dieu. Si tu vois dans une province le pauvre opprimé et la violation du droit et de la justice, ne t'en étonne point ; car un homme élevé est placé sous la surveillance d'un autre plus élevé, et au-dessus d'eux il en est de plus élevés encore. Un avantage pour le pays à tous égards, c'est un roi honoré du pays. Celui qui aime l'argent n'est pas rassasié par l'argent, et celui qui aime les richesses n'en profite pas. C'est encore là une vanité. Quand le bien abonde, ceux qui le mangent abondent ; et quel avantage en revient-il à son possesseur, sinon qu'il le voit de ses yeux ? Le sommeil du travailleur est doux, qu'il ait peu ou beaucoup à manger ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir. Il est un mal grave que j'ai vu sous le soleil : des richesses conservées, pour son malheur, par celui qui les possède. Ces richesses se perdent par quelque événement fâcheux ; il a engendré un fils, et il ne reste rien entre ses mains. Comme il est sorti du ventre de sa mère, il s'en retourne nu ainsi qu'il était venu, et pour son travail n'emporte rien qu'il puisse prendre dans sa main. C'est encore là un mal grave. Il s'en va comme il était venu ; et quel avantage lui revient-il d'avoir travaillé pour du vent ? De plus, toute sa vie il mange dans les ténèbres, et il a beaucoup de chagrin, de maux et d'irritation. Voici ce que j'ai vu : c'est pour l'homme une chose bonne et belle de manger et de boire, et de jouir du bien-être au milieu de tout le travail qu'il fait sous le soleil, pendant le nombre des jours de vie que Dieu lui a donnés ; car c'est là sa part. Mais, si Dieu a donné à un homme des richesses et des biens, s'il l'a rendu maître d'en manger, d'en prendre sa part, et de se réjouir au milieu de son travail, c'est là un don de Dieu. Car il ne se souviendra pas beaucoup des jours de sa vie, parce que Dieu répand la joie dans son cœur ».
Une rue à Antsiranana. Campagne électorale avant l'heure d'une fausse Esther protestante. Mais c'est tout à fait normal, n'est-ce pas ? La cible principale c'est Andry Rajoelina, alors les autres peuvent faire tout ce qu'ils leur plaisent. Même vendre leur propre pays
Au moment où je rédige tous ces rappels à tous les êtres humains, Lalao Ravalomanana est en train de jouer à l’Esther 6 : 8, de la Bible, au théâtre de verdure d’Antsahamanitra. En effet, elle a pris une phrase pour le seul profit de son mari, après avoir distribué sa photo à Antsiranana : « Car comment pourrais-je voir le mal qui arriverait à mon peuple, et comment pourrais-je voir la destruction de ma race? ».
Le contexte de l'époque d'Esther n'a vraiment aucun rapport avec la démarche de Lalao Ravalomanana, mais comme l'a si bien écrit Karl Marx (un Allemand): La religion est l'opium du peuple .
A force d'en faire trop, voilà les méfaits du lifting avec photoshop sur le visage de Lalao Esther
L'orgueil et la vanité, à Madagascar, sont personnifiées par ces pasteurs qui corrompent jusqu'à l'esprit d'amour mutuel de la chrétienté, en poussant carrément les fidèles ignorants à haïr autrui, jusqu'à aller au "fanonganana" (coup d'état pour faire direct). Les "Une" des journaux futurs nous informeront sur leur minable façon de quitter cette planète Terre. Certains ont été tués lors de l'affaire FIGN au Fort Duchesnes et on a oublié jusqu'à leur nom. Certes, Dieu est Amour mais son châtiment est terrible pour ceux qui utilisent son nom pour diviser le genre humain.
Histoire d'Esther
Esther était une jeune juive, orpheline, élevée par son oncle Mardochée en territoire perse. Le roi Assuérus, séduit par sa grande beauté, la choisit pour épouse. Esther suivit les conseils de son oncle. Elle n’a rien dit de son peuple, ni de sa parenté. Esther la juive, était devenue l’épouse d'un roi païen !
Puis tout se compliqua lorsqu’Aman (ou Haman), conseiller du roi, exigea que Mardochée se prosterne devant lui. Mardochée refusa. Il était un bon juif, et ne pouvait s'abaisser que devant le Dieu unique ! Aman décida alors de se venger. Il persuada le roi d'exterminer tous les juifs du royaume. Son argumentation était simple : les juifs ont un mode de vie différent, ils sont donc dangereux. Ainsi, Esther, la reine, était le dernier espoir du peuple juif. Mardochée la supplia : « Prie donc le Seigneur, et parle au roi pour nous ; sauve-nous de la mort ! ».
Esther décida alors de laisser tous ses bijoux et vêtements d’apparat et se couvrit de cendre, pour montrer qu’elle se tournait vers l’unique Dieu des Juifs. Durant trois jours, elle pria pour demander à Dieu de lui donner le courage d’intervenir auprès du roi pour sauver son peuple. Elle se présenta ainsi couverte de cendre à lui, sachant qu’elle risquait la mort. La Bible raconte que Dieu changea en douceur le cœur du roi. Esther put alors faire au roi sa demande : « Accorde-moi la vie, voilà ma demande, et la vie de mon peuple, voilà mon désir ». Et le miracle divin se produisit : le roi décida de protéger le peuple juif. Ce fut un retournement complet de situation: Aman fut pendu et Mardochée promu. La fête des Pourim (Les gars du FJKM savent-ils ce que c'est, au moins ?) a été instituée en mémoire d'Esther. Elle est célébrée dans les synagogues, le 14 du mois d'adar mais inconnue dans les églises FJKM. Lalao Ravalomanana fait de l'usurpation biblique pure et simple (voyez sa photo plus bas sur l'affiche purement publicitaire. Et Dieu n'a pas besoin de publicité pareillement fausse et faussée. La large majorité des Malgaches non plus).
Connaissant la véritable histoire, vous conviendrez tous que Lalao Ravalomanana n’est qu’une mystificatrice qui va bientôt connaître le courroux de Dieu qui n’aime pas qu’on utilise son nom à tort et à travers. Car cela arrivera aussi sûrement que le soleil se couche à l’Ouest. Certes, il y aura du monde car la quasi-totalité des fanatiques ignorent la véritable histoire d’Esther.
Lalao Ravalomanana dans le rôle d'Esther qu'elle semble prendre très au sérieux, pour les beaux yeux de son Marc adoré. Corruption de la Bible elle-même et reniement de sa propre religion. Voilà un exemple de mystification qui atteint un summum: oser se substituer à une héroïne biblique juive pour abêtir encore plus des Malgaches qui n'ouvrent leur Bible que pour se délecter de passages choisis par des pasteurs démoniaques n'agissant que pour défendre les intérêts d'un mortel considéré comme un dieu sur terre. On verra comment ils vont tous finir... Le comble aussi est que la parution de cette affiche dans les médiaboliques a été payante. En matière de publicité, il n'y a pas de miracle chez certains. Encore une vanité... Car c'est du pur marketing politique en corrompant la Bible.
Elevée au rang de messie au féminin, je doute fort que Dieu lui-même soit d'accord. Tout est vanité, ne serait-ce que ce maquillage de baby doll. Comme l'alcool, la consommation de photoshop doit se faire avec modération. Mais trop tard, ce "poster" restera pour l'Histoire.
Dès la semaine prochaine, les médiaboliques feront des reportages « inédits » avec des photos et des titres sensationnels pour affirmer que Lalao Esther sera bien la future Présidente-Reine de la IVème république de Madagascar. Ensuite ? Ben : « Vanité des vanités, vanité des vanités, tout est vanité »… En tout cas, je les plains de prononcer le nom de Dieu toutes les minutes, en insultant Andry Rajoelina. Je suis sûr qu'elles seraient mortes sur le champ si ces créatures maléfiques, qui gravitent autour de Lalao Esther et Marc-Le-Magnifique, cessaient brusquement de prononcer ce nom-là .
Bah, tout le monde finira comme Philibert Tsiranana, le père de la dépendance économique. Mais il avait raison de dire qu'il serait "Pisodia" (membre du Parti social démocrate) jusqu'à sa mort en 1978.
Il l'est effectivement resté, lui, mais la majorité de ses partisans ("pisodia izahay mandrapahafatinay"), après 12 ans de règne sans partage, sont entrés successivement dans l'Arema de Ratsiraka, l'Undd de Zafy, le Tim de Ravalomanana et le Tgv de Rajoelina.
Ainsi, comme vous pouvez le constater, arrivés ici nous revenons à la case départ, jusqu'à notre propre mort. Suivez donc le conseil de Jésus: "Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai tant aimés". Alors, ce sera vraiment au nom de Dieu Tout-Puissant... Pour le moment, mon intime conviction est qu'aucun de ces faux prophètes n'a étudié la lecture de la Bible mais n'en fait que de dangereuses interprétations. Dangereuses pour eux, d'accord, mais pour les autres, plus certainement. Aussi, ne vous demandez plus pourquoi les sectes oeuvrant dans les anciennes salles de cinéma ou ailleurs affichent à guichets fermés... Ils ont trouvé le filon (en ariary): la bêtise humaine reposant sur le fait de leur répéter que chacun est unique en son genre, sinon meilleur que les autres. La flatterie n'est aussi que vanité, les gars !
Jeannot RAMAMBAZAFY – 22 juin 2013