
Cette mère de famille peut être considérée comme une miraculée, vis-à -vis de la tuerie perpétrée par le régime Ravalomanana, le samedi 7 février 2009, devant le palais d’Ambohitsorohitra. Son témoignage explique pourquoi certaines familles ne retrouveront jamais le corps de leur(s) proche(s) froidement abattus dans sommation ce jour-là .