Andry Rajoelina, à Nosy Be, le 20 novembre 2009, lors de la célébration de la Journée de l’Industrialisation de l’ Afrique de l’Industrie
Si les indécrottables opposants s'opposant à tout pour le seul plaisir de s'opposer n'existaient pas, leur vie serait certainement fade. En tout cas, je vais apporter des preuves que leur manière de pratiquer la “liberté d'expression” au nom de la démocratie n'est dangereuse que pour eux-mêmes et leurs descendants car ils plongent résolument dans une auto-rétrogradation de leur propre raison d'être due à un esprit rétrograde qui n'apportera jamais rien de concret pour le développement du pays. A l'époque, ils s'appelaient les GTT, des créatures n'agissant pas individuellement mais en groupe; des lâches (“kanosa”) financés par le laitier d'Imerikasinina. Actuellement, ils agissent directement de leur propre personne grâce aux NTIC englobant Facebook et Youtube. Ils s'appellent Fleury Rakotomalala et Luc Hervé. Point commun : ils résident hors de Madagascar (France, La Réunion et Suisse surtout) profitent des avantages de l'ancien pays colonisateur pour tenter de diviser de pauvres Malagasy en cassant du Andry Rajoelina chaque jour que fait le bon Dieu. Tant pis pour eux et ceux qui les suivent par haine et jalousie.
Qu'ont-ils donc fait pour le pays où ils sont nés et qu'ils ont renié pour y avoir fait des conneries ou tout simplement par manque de patriotisme? Rien. Il y a 10 ans, ces connards n'existaient nulle part dans les tablettes de l'Histoire de Madagascar, sinon j'aurai été le premier à le savoir. Mais ce sont d'authentiques escrocs et de réels travailleurs immigrés qui crachent, de nos jours, sur leurs très nombreux compatriotes restés au pays en leur faisant croire qu'ils sont experts. Manque de pot pour eux, seuls 20% de la population malagasy de Madagascar leur donne une importance qu'ils ne méritent pas via les réseaux sociaux qui nous dévoilent, jour après jour, la très sale mentalité de quelques pseudo-intellectuels qui écrivent n'importe quoi sur l'actuel président de la république malagasy, uniquement pour prouver qu'ils existent. Mais, hélas pour eux, ils mourront dans le plus strict anonymat des passants qui passent et trépassent ne laissant rien en héritage que des écrits qu'ils n'auront pas pu effacer et qui n'auront strictement servi à rien sinon à assouvir leur propre incapacité d'avoir eu une vie honorable bien remplie. Car ils mourront toujours frustrés, en plus d'être restés cons. De toute façon, quand on est con, c'est pour la vie et jusqu'au tombeau.
Laissons-les mariner dans leur caca cérébral et rafraichissons la mémoire des patriotes, sensés, mais qui risquent, eux, de finir écœurés (certains le sont déjà ) par d'autres créatures du cercle des palais d'Ambohitsorohitra et d'Iavoloha, qui, par leur incompétence notoire en matière de communication, versent de plus en plus dans le culte de la personnalité en passant leur vie à faire de l'auto-censure et se prendre pour des héros sur Facebook, avec des photos loin de l'humilité. Étrangement, ces personnages de bandes dessinées persistent à se persuader à se prendre pour des lumières et à se croire indispensables sinon irremplaçables. Jusqu'à quand ?
Je n'entends pas verser dans la polémique mais j'affirme que, comme la vidéo qui ne remplacera jamais le cinéma, l'écriture de textes (éphémères) sur les réseaux sociaux ne supplanteront jamais le journalisme et les journaux papiers. Plongeon dans l'Histoire d'il y a une décennie à présent.
Le Président Andry Rajoelina dans le Nord, le 17 novembre 2019
Le week-end du 16 au 18 novembre 2019, le président Rajoelina était dans le Nord de la Grande île. Cette visite sur le terrain lui a permis de démontré ce qu'il sait faire le mieux: apporter des solutions concrètes réalisables à court et moyen terme pour le bénéfice du grand nombre. Comme exemples, je citerai le lancement des travaux de réhabilitation d'une portion de la RN6, entre Ambanja et Antsiranana, et toute une série de forages pour résoudre les problèmes d'eau potable des Antsiranais. Pour tout ce qu'il a dit et promis, aucun doute: on peut compter sur lui. Comme cela a été fait pour l'hôtel de ville d'Antananarivo et celui de Toamasina, le Coliseum d'Antsonjombe, le stade des Makis à Andohatapenaka, les hôpitaux aux normes dans chaque chef-lieu de province, mais laissés à l'abandon par l'expert-comptable, devenu président par accident, et sa clique de voleurs dont trois qui viennent d'être épinglés (mais pas encore incarcérés) pour détournement de deniers publics. Passons. Pour ce récent déplacement, la couverture s'est faite comme s'il s'agissait d'une grande première. Car certains journalistes et “communicateurs” zélés actuels ne l'étaient pas il y a 10 ans et personne ne peut leur jeter la première pierre. Voici ce que j'ai écrit, à la même date d'aujourd'hui, mais les 20 et 21 novembre 2009.
20 novembre 2009. A Madagascar, la Journée de l’Industrialisation de l’ Afrique de l’Industrie a été célébrée dans l’île de Nosy Be, en présence du Président Andry Rajoelina. Le thème de cette année était: «l’industrialisation pour l’intégration». On semble ne parler que de cela dans tous les domaines… INTEGRATION! C’est durant son discours qu’Andry Rajoelina a révélé qu’une somme de 1 milliard 446 millions d’ariary est allouée aux 959 travailleurs de l’usine Sirama dont le redémarrage est prévu en 2010.
Le Président Andry Rajoelina, en 2009, montrant en public, le chèque émanant du Trésor public. Comme ce fut le cas pour l'usine Sirama de Brickaville
Puis, joignant la parole au geste, il a montré le chèque déjà prêt émanant du trésor public. Comme ce fut le cas pour l’usine Sirama de Brickaville. Puis, joignant l’utile à l’agréable, il a participé à une réunion avec les opérateurs économiques nationaux locaux. Cette réunion à Nosy Be, agrémentée d'un atelier, dans le cadre donc de cette Journée de l'industrialisation de l'Afrique, a vu la présence de représentants de l’UNIDO (Organisation des Nations Unies pour le développement industriel. Il a été décidé que la route reliant Ambanja à l’embarcadère d’Ankify, distant de 25 km, sera inaugurée le samedi 21 novembre 2009.
21 novembre 2009 à Nosy Be. «Cela fait des années que les employés de la Sirama (société nationale de production sucrière), Sirama Brickaville et Sirama Dzamandzar (Nosy-Be) souffrent d’arriérés de salaires. Aucun des régimes ou gouvernements précédents ne s’est préoccupé de ces ouvriers. Le président Andry Rajoelina ne peut admettre de pareilles situations et c’est la raison pour laquelle il règle les arriérés de salaires des employés». Tel est l'essentiel du message que le Président de la Transition, a voulu transmettre. Il y a une semaine exactement, le samedi 14 novembre 2009, le président Rajoelina, a dirigé une lourde délégation à Brickaville pour annoncer le règlement des impayés de salaires des employés de la SIRAMA. Chose promise, chose due: le samedi 21 novembre 2009 donc, il était à Nosy Be auprès des employés de la SIRAMA pour payer leurs arriérés de salaire.
Plus encore, en matière d'efficacité au service de la population, il a déjà en quelques mois, inscrit son nom en tant que président de transition, sur une plaque inaugurale d’une portion de route (RN 30) bitumée longue de 17 kilomètres, reliant Ankify à Ambanja. Cette réhabilitation a été financée par la Banque mondiale et les travaux confiés à l'entreprise Colas. Il a même promis que le mois de février 2010, un bac de 200CV, pouvant acheminer une charge de 150 tonnes sera opérationnel pour relier Nosy Be à Ambanja. Il s'agit d'un don du gouvernement français, indique-t-il.
L'Histoire, la vraie, repose sur des faits qui se sont réellement passés et qui sont consignés pour la postérité. Le reste, ce n'est ne sont que des histoires inventées par de sinistres zombies qui s'ignorent et qui seront totalement ignorés par l'Histoire de Madagascar. A qui la faute? A Andry Rajoelina? Ppppff... Pour l'heure, ils pullulent sur Facebook, creusant encore plus profondément leur tombe pour un oubli éternel. Déjà qu'ils ont rejeté le nom que leurs parents leur ont donné pour s'affubler de pseudonymes aussi puérils que ridicules.
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Jeannot Ramambazafy