A celle ou à celui qui, au lendemain des élections présidentielles, aura le destin de la Nation malagasy entre ses mains, je veux lui adresser tous mes vœux de réussite pour la poursuite du développement qu’elle (ou il) aura à cœur de parachever.Le développement est un combat et il doit être équitable. Clairement, le développement doit profiter à toutes les Provinces de notre pays. Il a pour but d’apporter son bienfait à toutes celles et à tous ceux qui n’ont toujours pas accès à l’eau, à l’électricité, à l’école, aux soins ou à un emploi durable et qualifié. Ce combat doit, à mon avis, se décliner en sept chantiers qui me semblent prioritaires pour inscrire notre Nation dans le progrès économique, la paix sociale et le rayonnement international de la Grande île.